PatrickTimsit reprend à la Gaîté Montparnasse, le spectacle qu'il présentait au théâtre du Rond Point en janvier dernier (et dont l'affiche, cette fois, semble ne pas avoir été censurée). Le comédien, en mode stand-up, interroge le public "Peut-on rire
Nouveau spectacle de Patrick TIMSIT, il proclame on ne peut pas rire de tout » ; et surtout, on ne peut pas rire de tout avec tout le monde. Alors il fait l’inventaire des questions sensibles, des sujets qui fâchent, notant les réactions du public pour évaluer jusqu’où on peut aller trop loin … commençant par les religions, puis les nazis, les marseillais, les nains, Arthur … les uns et les autres … et bien sûr lui-même … ah, non, ça, on ne se moque pas !!! Ce spectacle arrive dans le contexte très particulier du post Charlie Hebdo » … l’affiche a été refusée par l’afficheur, c’était trop d’la bombe … alors … alors on se demande comment l’artiste va réagir à tout ça, forcément. TIMSIT fait du TIMSIT, c’est spirituel, insolent, caustique, provocateur … mais pour de rire ! Mais, qu’est-ce que rire ? » ; ça pourrait être un sujet de philo au bac ! Donc, rire, est-ce s’esclaffer bruyamment, pouffer de temps à autre, sourire à un bon mot ?? Car si j’ai souri souvent, gentiment, l’éclat de rire fut rare ; et l’impression finale oscille plutôt vers la déception. Alors, oui, les idées sont bonnes, le texte percutant quoiqu’il souffre parfois de manque de spontanéité avec des répliques un peu trop écrites … téléphonées ; mais, hélas, trop souvent, Patrick TIMSIT cabotine, fait durer ses effets, ça dure, ça dure … ça s’éternise … du coup le rythme en souffre et du ah, super ! » on en arrive à se dire c’est bon, passe à autre chose ! » … Tandis qu’il s’agite sur scène, un léger remous fait glousser la salle … on est bien loin de la déferlante de rire. Alors, oui, on peut rire de tout avec ceux qui sont partants pour se faire égratigner, bousculer au passage … n’ont pas peur de se moquer ouvertement de leurs congénères ! mais j’aurais voulu rire encore plus fort et plus longtemps ! PatrickTimsit : Patrick Timsit On Ne Peut Pas Rire De Tout Movie Streaming Online Watch. Il tourne actuellement dans le nouveau film d'arnaud desplechin, frère et sœur, où il donnera la réplique à marion cotillard et melvil poupaud. Il a répondu à quelques questions sur les 10 bonnes raisons de son départ en retraite sur. Patrick timsit, né le 15 juillet 1959 à alger Samedi 5 novembre 2016 – 20h30 Patrick Timsit revient avec son nouveau spectacle coécrit avec ses complices de toujours Jean-François Halin et Bruno Gaccio. Caustique et cinglant, il joue avec le feu et fait rire avec ce qui fait mal. Avec une bonne dose d’autodérision, il aime jouer les sales types » le raciste, le nazi, l’antisémite, le macho etc et n’épargne personne. Se parant de fausse naïveté pour suggérer des thèmes et en jauger les limites, il pose les bases d’un seul-en-scène qui se construit avec le public et démontre que l’on peut rire de tout, ce qui est important c’est la façon dont on en rit». Patrick Timsit a rencontré un énorme succès au Théâtre du Rond-point et à la Gaîté Montparnasse en 2015. L’humour du risque Le texte, coécrit avec Bruno Gaccio et Jean-François Halin, est d’une efficacité parfaite pas de gras, pas de bavardage, ça met dans le mille, calme et droit. Entendu, à la sortie Si la patronne, c’est Foresti, le patron, c’est Timsit. » pas mieux. » Le retour de Super-Timsit Comique et polémique d’un seul tenant, véritable poil à gratter dans l’air du temps, Timsit est Charlie », évidemment, et ça fait du bien à tout le monde ! » Au-delà des textes, la drôlerie naît de la finesse d’une interprétation insufflant l’indispensable second degré. À ce talent Patrick Timsit ajoute celui de ne jamais s’ériger en donneur de leçons. » Patrick Timsit toujours horriblement drôle ! Très affuté, Timsit reste l’un des meilleurs pour balancer les pires horreurs, avec le sourire et une fausse naïveté. Le spectacle, coécrit avec les impitoyables Bruno Gaccio et Jean-François Halin, file à toute allure. » Timsit sans limites Nul cours magistral ronronnant mais un feu d’artifice de vannes et de saillies pleines d’esprit, drolatiques et féroces. Humour noir, grinçant, jamais insultant ni outrancier. L’écriture est ciselée, la gestuelle pleine d’aisance et de fluidité. » 30€ tarif uniquecatégorie APatrickTimsit Patrick Timsit revient avec un nouveau spectacle intitulé « On ne peut pas rire de tout ». L’humoriste entend renouer avec la veine corrosive et le mordant qu’on lui a toujours connu. Rien n’échappera à son
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 2,5 2028 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Prêt à tout ? 269 critiques spectateurs 5 23 critiques 4 45 critiques 3 93 critiques 2 57 critiques 1 27 critiques 0 24 critiques Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Un type qui a fait fortune en créant un site internet de rencontres retrouve par hasard la fille dont il était amoureux à la fac et qu'il n'a pas pu oublier. Léger problème elle l'avait rejeté à l'époque et n'a toujours aucune attirance pour lui. Le réalisateur de ce film joue clairement la carte de l'excès empêchant ainsi le spectateur de croire aux personnages et aux situations. Cela aurait pu fonctionner si on était parti dans un délire total mais le manque d'énergie de la mise en scène et l'absence de fantaisie du scénario réduisent l'histoire à une bluette prévisible et sans âme dont le peu d'intérêt est aggravé par les ahurissantes invraisemblances qui ponctuent le film. Dommage pour les acteurs qui sont plutôt bons notamment Patrick Timsit qui est touchant et drôle en industriel désabusé... quel surprise !! je m'attendait a un très mauvais film français pour finalement tomber sur probablement le meilleur. un scénario incroyable et très original, de nombreuses scènes étonnantes et très drôle, la revisite de l'humour frais et moderne, les acteurs sont tous très bon pas étonnant pour un film humoristique, excellent. Une comédie qui convenue apporte néanmoins quelques bonnes surprises avec des personnages qui campent des caractères bien différents. Franchement une comédie très plat pour par dire nul dans tout les personnages qui sont lourds le scénario vraiment mou Super film, drôle, touchant et émouvant, devrait être traduit en anglais. Comme d'habitude, les critiques n'apprécient pas, on se demande ce qu'ils veulent. Un des meilleurs films français dans le genre comédie romantique et qui permets d'évoquer des sujets difficiles comme les différences de classe sociale et les barrières imaginaires qu'elles créent entre les personnes. Magnifique film, m'a permit de me remettre en question par rapport à ça. Ayant eu aussi un parcours chaotique comme Alice, j'ai aussi eu du mal à me retrouver auprès de mes amis qui avaient réussit et je n'étais jamais sincèrement heureux pour eux. À la fin j'ai préféré les fuir. Je pense que je vais prendre mon téléphone et les appeler ce soir ☺️ ce film m'a touché à ce point. J’ai trouvé que c’était une bonne comédie sans prétention. Alors certes à part quelques passages vraiment très drôles, je n’ai pas été noyé sous les fous rire, mais j’apprécie d’avoir toujours le sourire aux lèvres. Il y a souvent un petit truc pour rire, et l’ambiance est très sympathique. J’aime cette continuité et cela en fait pour moi une valeur sûre. On sait qu’on va passer un bon moment à s’amuser. Rien que le concept est un peu fou. Un riche qui rachète une usine juste pour être à côté de son amour secret, j’adore l’idée. Pour surfer sur ces bonnes ondes, Max Boublil est le candidat idéal. Cet acteur à ce petit truc qui fait je suis content de le voir. Il apporte de la bonne humeur. Ses différentes réactions valent aussi le détour. Il est tellement maladroit que ça en est touchant. Aïssa Maïga va aussi bien lui tenir tête pour ne pas lui rendre la tâche facile. Par contre, il ne faut pas s’attendre à de grands moments de romance. Le casting secondaire est génial avec notamment Patrick Timsit et surtout l’humoriste Redouanne Harjane. Ce dernier m’a éclaté à chaque passage et le mieux c’est qu’il était en improvisation. Par moments, vu la qualité de ces secondes lames, j’aurais aimé elles aient plus d’importance afin d’apporter plus de punch. Passez votre chemin ! C'est mauvais, très jeu d'acteur n'est pas bon, le scénario n'est pas mieux, l'humour est gênant. Les stéréotypes sont tellement lourd, très difficile à supporter pendant toute la durée du film. Prêt à tout à une bonne histoire solide et bien conçue, mais il y a trop peu de profondeur aux personnages pour s'y attacher. Quelques répliques font sourire ou rire, le tout est mignon et amusant Je me suis dit ok, encore un film improbable sur l'amour multiculturel et les clichés à 2 me suis trompé en fait. Les clichés sont à 50 centimes. Vraiment prêt à tout » le Max Boublil pour sa belle, Aïssa Maïga, dans cette fable sociale romantique dont on ne croit pas un seul instant! Au dèpart, Max fait ça par amour mais ne s'intèresse pas vraiment à ce qui se passe dans l'usine où travaille Aïssa! il se rendra au fur et à mesure du film que les choses ont une consèquence dans la vie des gens en s'ouvrant à ce monde [...] Donc le fric peut tout acheter ? C'est donc ça la morale de "Prêt à tout" ? Aucune alchimie entre les deux comèdiens perdus dans un scènario tristement banal, avec ses rèfèrences ècrasantes à Capra! Une intrigue aussi laborieuse que la mise en scène de Nicolas Cuche qui signe un film sans intèrêt! Le rèalisateur de "La chance de ma vie" tente d'apporter un sujet quotidien dans une histoire romanesque! En vain! Seul Patrick Timsit en gentil directeur d'usine tire son èpingle du jeu! il est malheureusement bien le seul à se sauver les miches d'un propos qui ne touche pas! N'est pas Capra qui veut... Quand le cinéma français veut faire de la politique dans une comédie, c’est souvent poussif et décalé pour être sérieux. C’est le cas ici dans cette satire du capitalisme sous couvert de comédie romantique pataude, sans sentiment, avec des acteurs globalement médiocres. J-L Mélenchon peut rester tranquille. Un film agréable rempli d’amour et de maladresses. Parfait pour une soirée est évidente mais vraiment sympathique à regarder. Après les premières minutes, j'ai vite compris que ce film n'était qu'une succession de clichés sans aucun relief. Les partons c'est des méchants, les prolos mondialistes sont des gens lumineux. Rien que le synopsys aurai du mettre la puce a l'oreille. On y croit pas une seconde. Contre toute attente car je n'aime pas trop Max Boublil, j'ai beaucoup apprécié ce film, qui est à la fois drôle et émouvant, et nous amène à réfléchir sur la place de l'argent et de l'amour dans le bonheur le héros et 2 de ses amis parviennent à devenir rapidement très riches grâce à un site internet, et mènent une vie "de rêve" en Thailande, sauf le que le héros ne parvient pas à oublier celle dont il était tant amoureux à le Fac, et il ne va reculer devant aucun sacrifice, ni aucune dépense, ni aucune ruse foireuse, pour revenir en France travailler auprès d'elle et essayer de lui plaire... Cette fuite en avant est touchante. Ensuite, les rapports humains hommes/femmes, célibataires en quête d'amour, ouvriers/patrons sont bien vus. Le fait aussi que certaines personnes vivent des vies de luxe international à des années lumière de la vie des salariés de noter aussi que le scénario n'est pas si simplet et "joué d'avance" qu'il n'en a l'air !Enfin, la plupart des acteurs jouent très bien, avec une mention spéciale pour mon chouchou Patrick Timsit en patron vous laissez pas décourager par certains commentaires assassins, ce film vous permettra de passer un vrai bon moment d'évasion et d'émotion romantique. Une sympathique comédie drôle, intelligente, écrite avec brio et bien dans l'air du temps, injustement assassinée par une grande partie de la presse et du public. Le tandem Aissa Maïga et Max Boublil fonctionne à merveille. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse- Мυщаγω ኃеλαжаሦи алθ
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Max Boublil incarne un Robin des Bois déjanté 000409 C'est un Robin des Bois vraiment très très particulier qui est a l'affiche de Robin des Bois, la véritable histoire. N'ayons pas peur des mots dans le film, le héros est un vrai "salopard" et c'est lui-même qui le dit. Max Boublil l'incarne à l'écran, dans un film d'Anthony Marciano. "Au début, il est exécrable, misogyne, bête, mais il va apprendre qu'on peut devenir heureux en donnant de l'argent à ceux qui en ont besoin", explique le comédien. Cette version complètement déglinguée du justicier de Sherwood fait vraiment rire. C'est nul, c'est débile, c'est de très mauvais goût, c'est bête et méchant mais pourtant drôle. Max Boublil est entouré de Ary Abittan, Gérard Darmon, Malik Bentalha, Patrick Timsit et Géraldine Nakache. Pour l'interprète principal, ce Robin des Bois qu'il interprète, n'a aucune qualité. Une scène dans le film illustre parfaitement ce sans foi ni loi qu'est Robin des Bois, quand le fils de Marianne vient demander au personnage de Max Boublil pourquoi il ne sort pas avec sa mère. Cela dit, quelle que soit la vraie nature de Robin des Bois, il a fallu se mettre en condition, mais peut être pas à la manière d'Errol Flynn, Kevin Costner ou même Russel Crowe, pour l'élégance et la séduction. Max Boublil a suivi malgré tout, un entraînement assez intensif. "J'ai appris à tirer à l'arc et surtout j'ai appris à monter à cheval, et j'ai progressé ! J'arrivais à faire des galops, des trots", sourit l'acteur, qui s'est tout de même cassé un pied pendant le tournage. Cela dit, au delà de tout ce que l'on peut penser de ce Robin des Bois "hors norme", l'acteur s'est pris un malin plaisir à se replonger dans des décors d'une autre époque, et à revêtir ce costume plutôt magique. Max Boublil sera demain au cinéma, dans Robin des Bois, la véritable histoire, qui ne semble pas être la vraie légende de Robin des Bois. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
On ne peut pas rire de tout ". Depuis longue date, Patrick Timsit nous donne le sourire, avec cet humour caustique et décalé parfaitement assumé. L’humoriste reviendra sur scène dès l’automne 2014 et entend renouer avec la veine corrosive et le mordant qu’on lui a toujours connu. Rien n’échappera à son ironie cinglante. TimsitPatrick Timsit est un acteur, réalisateur et humoriste français, né à Alger le . Après avoir fait une carrière d'humoriste, il se consacre au cinéma, où il apparaît principalement dans des comédies mais aussi, à l'occasion, dans des rôles dramatiques. Biographie Jeunesse Patrick Timsit est né à Alger le de parents juifs d'Algérie d'origine berbère. Sa famille s'installe en métropole en raison de la guerre d'Algérie alors que Patrick est âgé de deux ans, une bombe explose près du magasin de maroquinerie de son père. Ce dernier décide alors immédiatement de quitter l'Algérie. Débuts sur scène et révélation comique années 1980 Patrick Timsit passe son enfance dans l'atelier de maroquinerie de ses parents. Parce qu'on lui demande de redoubler sa première alors qu'il a déjà épuisé cinq lycées, il quitte l'établissement et passe son baccalauréat D en candidat libre. Il arrête ses études pour l'immobilier où travaille désormais son père et ouvre sa propre agence immobilière en 1983. Attiré par le théâtre, il suit des cours du soir et écrit une pièce, avant de se lancer dans le one-man-show avec Les Femmes et les Enfants à mort, qu'il joue au festival d'Avignon. Il quitte alors son métier d'agent immobilier pour se lancer définitivement dans le spectacle. Il se fait remarquer au début des années 1990 par son ton corrosif dans ses sketchs et dans ses passages télés souvent chez Christophe Dechavanne, n'hésitant pas à égratigner certaines personnalités populaires et à pratiquer l'humour noir. Il aborde également des sujets délicats, comme la politique, le racisme, l'antisémitisme, le conflit israélo-palestinien, la santé, le monde médical et la recherche, la défense des droits des homosexuels, sur un mode provocateur. Un sketch dans lequel son personnage tient des propos jugés insultants pour les handicapés mentaux lui vaudra un procès. Progression cinématographique années 1990 Après quelques apparitions, c'est en 1991 qu'il débute vraiment au cinéma, avec Une époque formidable, sous la direction de Gérard Jugnot, suivi de La Crise de Coline Serreau en 1992. Un Indien dans la ville, en 1994, est un immense succès populaire, et l'audacieuse comédie de mœurs Pédale douce qu'il co-scénarise également, aux côtés de Pierre Palmade est particulièrement bien reçue en 1995, devenant culte. L'acteur est désormais lancé. L'année 1996 est marquée par la sortie de plusieurs films dans des genres différents le drame psychologique Passage à l'acte, de Francis Girod, et la grosse production à costumes Marquise de Véra Belmont, ainsi que l'original La Belle Verte, de Coline Serreau. En 1997, il partage l'affiche du polar Le Cousin avec Alain Chabat, sous la direction d'Alain Corneau. Mais en 1998, il revient vers la comédie populaire avec la satire Paparazzi d'Alain Berbérian, puis retrouve Alain Corneau cette fois pour une grosse comédie d'aventures Le Prince du Pacifique, qui sort en 2000, et marque ses retrouvailles avec Thierry Lhermitte. La même année, il dévoile Quasimodo d'El Paris, sa première réalisation. Il tient également le rôle-titre, aux côtés de Richard Berry. Ce dernier lui renvoie la pareille l'année suivante, lui confiant le rôle du prétendant transi de Cécile de France dans sa comédie romantique L'Art délicat de la séduction. Échecs puis diversification années 2000 Le comédien persiste à la réalisation, mais avec moins de succès que ce soit en 2002 avec la comédie dramatique Quelqu'un de bien dont il partage l'affiche avec José Garcia ; puis en 2004 avec la satire L'Américain, où cette fois il ne joue pas, se contentant de diriger Lorànt Deutsch, Richard Berry et Emilie Dequenne. Il a d'ailleurs reconnu avoir mal vécu l'échec de ce troisième film. L'acteur commence progressivement à se faire plus rare sur grand écran. Si en 2002, il donne la réplique à Laetitia Casta, alors comédienne montante, dans le drame Rue des plaisirs, réalisé par Patrice Leconte, il se contente ensuite de rôles secondaires dans des projets cinématographiques d'autres révélations télévisuelles l'expérimental Les Clefs de bagnole, de Laurent Baffie, ou encore les potacheries Les Onze Commandements ou Incontrôlable. Parallèlement, il tente un retour sur scène en 2005, il incarne sur scène le personnage de François Pignon, créé par Jacques Brel, dans l'adaptation théâtrale de L'Emmerdeur de Francis Veber, avec Richard Berry. La pièce est un succès. L'année 2008 est l'occasion d'un comeback cinématographique il est d'abord à l'affiche de L'Emmerdeur, adaptation de la pièce, toujours aux côtés de Richard Berry et sous la direction de Francis Veber. Et évolue aux côtés de Charles Berling dans la comédie dramatique Par suite d'un arrêt de travail..., écrite et réalisée par Frédéric Andréi. Les deux films passent inaperçus. La même année, il met en scène une adaptation en comédie musicale des Aventures de Rabbi Jacob, qui est donnée au Palais des congrès de Paris. Le spectacle est mal reçu par la critique et boudé par les spectateurs. En revanche, il peut compter sur son retour sur scène avec son One Man Stand-up Show sous-titré Le spectacle de l'homme seul debout », coécrit, comme les précédents, avec les anciens auteurs des Guignols de l'info Bruno Gaccio et Jean-François Halin, est un vrai succès. Retour au cinéma populaire et confirmation sur scène années 2010 Il faut attendre 2012 pour le revoir au cinéma. Alain Chabat lui confie l'un des rôles principaux de sa quatrième réalisation, la comédie d'aventures Sur la piste du Marsupilami, un joli succès critique et commercial. La même année, il partage l'affiche de la comédie Stars 80 avec Richard Anconina, et réalisée par Frédéric Forestier et Thomas Langmann, les co-responsables d'Astérix aux Jeux Olympiques. En 2013, il fait partie de la distribution de la comédie Une chanson pour ma mère, écrite et réalisée par Joël Franka, et portée par Dave. Et participe à la comédie romantique Prêt à tout, réalisée par Nicolas Cuche et portée par Max Boublil. Parallèlement, il évolue dans un registre plus dramatique, mais sur les planches en 2012, il joue au Théâtre Antoine dans Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor, puis dans Les derniers jours de Stefan Zweig, de Laurent Seksik. Et en 2013, il reprend la première cette fois au Théâtre du Chêne Noir, puis au lycée français de San Francisco. En 2014, il change de registre avec Intrigue, Luxe et Vanité de Carlo Goldoni, cette fois au Vingtième Théâtre. En 2015, il retrouve Boublil au cinéma pour la comédie d'aventures Robin des bois, la véritable histoire, d'Anthony Marciano et participe à la comédie La Dream Team de Thomas Sorriaux, avec Gérard Depardieu, et sortie en mars 2016. En 2017, il prête ses traits à Bruno Coquatrix dans le biopic Dalida réalisé par Lisa Azuelos, et fait partie de l'aventure Gangsterdam, seconde réalisation de Romain Lévy. On le retrouve au théâtre la même année interprétant Le Livre de ma mère d'Albert Cohen au Théâtre de l'Atelier notamment. Théâtre 2005 L'Emmerdeur, reprise de la pièce de Francis Veber avec Richard Berry, théâtre de la Porte-Saint-Martin 2008 Les Aventures de Rabbi Jacob, mise en scène, Palais des congrès de Paris 2012 Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor, lecture dirigée par Delphine de Malherbe, Théâtre Antoine 2012 Les derniers jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik, mise en scène Gérard Gelas, Théâtre Antoine 2013 Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor, lecture dirigée par Delphine de Malherbe, Théâtre du Chêne Noir Festival d'Avignon, tournée, Théâtre Antoine, Lycée français de San Francisco 2014 Intrigue, Luxe et Vanité de Carlo Goldoni, mise en scène Adriano Sinivia, Vingtième Théâtre 2017 Le Livre de ma mère d'Albert Cohen, mise en scène Dominique Pitoiset, tournée et théâtre de l'Atelier One man shows 1983 Les Femmes et les Enfants à mort 1987 Patrick Timsit lâche le morceau 1991 Ne me cherchez pas ! 1992 Timsit vite ! 1993 Patrick Timsit au Palais des glaces ! 2008 The One Man Stand-up Show 2016 On ne peut pas rire de tout Filmographie En tant qu'acteur Cinéma Télévision Doublage le narrateur }} Autres On peut le voir dans le clip vidéo de la chanson de Marc Lavoine, Les Tournesols. En tant que réalisateur 1999 Quasimodo d'El Paris 2002 Quelqu'un de bien 2003 L'Américain 2003 La Faucheuse court métrage - coréalisation avec Vincenzo Marano En tant que scénariste Il a également coécrit les films qu'il a réalisés. 1989 Aller à Dieppe sans voir la mer court métrage de Nicolas Errèra coscénariste avec ce dernier 1996 Pédale douce de Gabriel Aghion coscénariste avec ce dernier et codialoguiste avec Pierre Palmade 1998 Paparazzi d'Alain Berbérian coscénariste avec ce dernier ainsi que Danièle Thompson, Simon Michaël, Vincent Lindon et Jean-François Halin 2012 L'Innocent téléfilm de Pierre Boutron coscénariste avec ce dernier et Tonino Benacquista Discographie 1988 Manie ma nana 1988 Lachez les chiens parolier Patrick Timsit - interprète Catherine Pelletier Radio Janvier-février 2005 Radio Timsit sur Europe 2, avec Alexandre Pesle, Jean-François Halin et Muriel Barrel un DVD réalisé par Ludovic Dazin est sorti en 2005. Nominations César du cinéma 1993 Nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour La Crise César du cinéma 1997 Nomination au César du meilleur acteur et au César du meilleur scénario original ou adaptation pour Pédale douce César du cinéma 1998 Nomination au César du meilleur acteur pour Le Cousin Notes et références Voir aussi Article connexe Cinéma français Liens externes Interview audio de Patrick Timsit
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