Jeme sens seul, vraiment perdu :- (. Résolu /Fermé. Bibi - 17 avril 2010 à 23:20. Criscris - 30 nov. 2011 à 22:15. Bonjour, J'ai 15 ans et je suis en seconde au lycée. Je me sens vraiment seul. J'ai l'impression que tout le monde m'aient lâchés. J'ai l'impression que je n'ai plus de vie social en dehors de chez moi avec mes parents.
Article initialement publié le 4 avril 2018. La plupart étaient très jeunes. Parfois même, ils n’avaient jamais effleuré les lèvres d’un autre. Et puis, un jour, ça leur est tombé dessus ils ont rencontré quelqu’un. Ils ont échangé un baiser, puis ils ont fait l’amour pour la première fois. Les années ont filé et leur relation s’est étoffée sans suite après la publicité Françoise*, Anne, Alexia, Thomas, Jean, Clara et Stéphanie n’ont pas le même âge, vivent aux quatre coins de la France, sont issus de milieux différents, mais ont un point commun tous sont en couple avec la personne avec laquelle ils ont perdu leur virginité. Ils le savent, ce sont des "oiseaux rares", de ceux qui se retrouvent à la marge des statistiques. En 2006, l’enquête sur la sexualité en France menée par Nathalie Bajos et Michel Bozon estimait que les femmes avaient en moyenne 4,4 partenaires sexuels au cours de leur vie versus 11,6 pour les hommes. Quand on croise sur notre chemin ce type de personne, elle nous intrigue, parfois nous effraie ou nous pousse à l’admiration, mais ne nous laisse jamais sans questions, alors nous les avons interrogées. Des premières fois toujours à deux Entre eux, Alexia et Thomas s’amusent à se qualifier de "derniers des Mohicans". Quand ils se sont rencontrés, ils avaient respectivement 14 et 18 ans. Aujourd’hui, ils ont 33 et 37 ans et font partie de ces couples formés au lycée et qui suite après la publicité Non sans une certaine nostalgie, Alexia se souvient de leur rencontre "Moi, j’étais au collège. Lui, au lycée et nous traînions avec la même bande de potes. Thomas me plaisait mais, parce que j’étais plus jeune et que mon expérience amoureuse se résumait à une amourette de CM2, je n’ai rien vu venir. Un jour, il m’a téléphoné pour me dire le plus simplement du monde qu’il était amoureux de moi."S’en suivent de longs coups de fil à partir de 18 heures parce que c’est moins cher, des discussions sur MSN et même quelques lettres envoyées, les adolescents apprennent à se connaître. Le couple se forme officiellement le soir du réveillon de l’année 1999. Thomas se remémore "L’un comme l’autre, nous n’avions jamais eu d’expérience sexuelle. Ça avait quelque chose de rassurant car nous n’avions pas la crainte d’être jugé par l’autre. Nous avons attendu un bon bout de temps avant de faire l’amour pour la première fois."Après l’installation vient le mariage, le premier enfant, puis le second. D’ici quelques mois, ils fêteront les 19 ans de leur suite après la publicité Sexe/Couple/Mariage François de Singly, sociologue spécialiste de la famille, reconnaît que ce type de relation n’est pas dans l’air du temps "Avant, les entrées dans la sexualité, dans la vie de couple et dans le mariage n’étaient pas dissociées. Aujourd’hui, elles le sont. On valorise l’expérience et l’apprentissage et, par conséquent, rares sont les hommes et les femmes qui restent en couple avec la personne avec laquelle elles ont perdu leur virginité. Plusieurs facteurs entrent en considération, mais la lame de fond du modèle de l’association est souvent de nature religieuse."Il y a 55 ans, quand Françoise n’était qu’une adolescente, coucher avant le mariage, "ça ne se faisait pas". A 16 ans, alors qu’elle travaille dans une blanchisserie, l’adolescente fait la connaissance de Michel. Tous les deux commencent à se côtoyer à la sortie du travail. Ils vont parfois au bal ensemble "Les fiançailles sont venues rapidement. Sa famille insistait pour que notre mariage soit célébré à l’église, alors nous avons attendu et respecté les règles. Mon mari est le seul homme avec lequel j’ai eu un rapport sexuel."Soudain, au téléphone, la septuagénaire semble chercher ses mots. Dans un murmure, elle explique qu’elle veut juste s’assurer que son mari n’écoute pas la conversation, puis ajoute "Il est le seul homme, mais je ne suis pas la seule femme. Nous sommes mariés depuis 50 ans, mais lui a dû me tromper la moitié de sa vie."Françoise sait très bien que son mari est allé voir ailleurs, mais elle a toujours préféré se taire. Elle n’a d’ailleurs jamais envisagé de le suite après la publicité "Aujourd’hui, je l’aime toujours. Peut-être pas du même amour qu’au début, mais il reste l’homme de ma vie et le père de mes enfants."Au fil de ses enquêtes, François de Singly a observé que les femmes donnent souvent plus d'importance à la durée d'un couple, essentiellement pour des raisons historiques et idéologiques. Ne jamais céder à la tentation Être tenté d’aller voir ailleurs, Thomas sait que c’est humain. Jeter un coup d’œil sans céder à la tentation, voici sa ligne de conduite "C’est un peu comme un carré de chocolat, il est devant vous et semble vous dire sers-toi’. Mais à partir du moment où je suis heureux de rentrer chez moi pour voir ma femme, à quoi bon ? Je n’ai jamais eu l’impression d’être passé à côté de quelque chose."C’est certain, avec 19 ans de relation à son actif, Thomas fait figure d’exception parmi ses amis. En fait, en y réfléchissant, il est certain d’être le seul à n’avoir eu qu’une seule partenaire sexuelle. C’est aussi le cas de Jean, en couple depuis plus de dix ans. Pourtant, ce trentenaire reconnaît que les occasions ne manquent pas La suite après la publicité "Je suis militaire et dans ma profession on dit souvent que ce qui passe en OPEX opérations militaires extérieurs de la France, NDLR reste en OPEX. Autour de moi, je vois beaucoup de mari volage. Moi, je n’en ai jamais ressenti le besoin."Anne, en couple depuis bientôt 13 ans, s'est déjà laissée tenter. C'était lors d'une soirée étudiante. Sous l'empire de l'acool, elle a embrassé un autre garçon. Juste pour voir. "C’était de la curiosité. Comme ça n'avait aucune valeur, j'en ai parlé à mon copain qui l'a plutôt mal pris. Je me suis alors rendu compte que non seulement j’avais merdé, mais surtout que j’avais mis en péril mon couple pour une broutille. Je n'ai jamais recommencé.""Oui, j’ai rêvé de coucher avec d’autres garçons" Clara n’a que 22 ans, mais déjà huit années de relation avec le même homme. Dès le départ, son entourage ne croyait pas vraiment en leur histoire. Les choses se sont tassées, mais son père continue de lui demander régulièrement si elle n’a pas envie d’aller voir ailleurs, au point d'immiscer le doute dans l’esprit de sa fille "Répondre aux autres, c'est ce qu'il y a de plus difficile. Oui, j’ai eu envie de le quitter. Oui, j’ai eu des regards baladeurs. Oui, j’ai rêvé de coucher avec d’autres garçons. Oui, j’ai comparé les histoires que mes copines me racontaient. Pour autant, je n’ai jamais réussi à me convaincre qu’un autre quotidien que celui que je partage avec lui était possible."Sexuellement, la jeune femme reconnaît qu’elle ne fait pas l’amour tous les jours, ni même toutes les semaines, mais ça lui convient ainsi. "Il suffit d'une fois pour retrouver les sensations du début", assure-t-elle. Avec le recul, Anne constate elle aussi que sur ce terrain-là, la situation a changé. Après des débuts "fougueux et passionnels", une certaine routine au lit s’est installée La suite après la publicité "C’est peut-être le seul point noir de notre relation. Moi, ça me va ainsi, mais je sais qu’il ressent une petite frustration. Depuis peu, nous avons entamé une thérapie de couple pour retrouver un équilibre." Accepter les changements identitaires François de Singly confirme qu’au sein de la vie conjugale, la sexualité a son importance, mais elle ne constitue pas à elle seule l’unique risque pouvant mener à une séparation "La routine et l’usure entrent en jeu, mais plus encore dans les relations qui durent, ce sont les transformations identitaires qui comptent, tant les siennes que celles du partenaire."En effet, tous s'accordent sur un point la personne avec laquelle ils partagent leur vie aujourd’hui n’est plus exactement la même que celle qui a fait chavirer leur cœur il y a de cela quelques années. "Quand on rencontre son partenaire à 15 ans, il faut accepter l’idée que l’amour qu’on lui porte évoluera, mais surtout que l’individu changera. La découverte de soi-même peut apporter une certaine fragilité et on peut être tenté par l’infidélité pour ressentir de nouvelles sensations."Longtemps, Stéphanie et Mathieu étaient sur la même longueur d’onde. Quand ils ont vécu dans deux villes séparées, ils s’arrangeaient toujours pour se voir. S’il l’un avait une opportunité professionnelle, ils en discutaient. Sexuellement, depuis 16 ans, ils n’ont jamais hésité à tester de nouvelles choses. Aujourd’hui, à 35 ans, ils sont mariés, ont deux enfants et sont heureux. Pourtant, il y a quelque temps, le couple a connu un passage à vide et Stéphanie a eu une aventure avec un autre homme La suite après la publicité "Ce n’était pas du tout lié à une quelconque envie d’aller voir ailleurs, mais plutôt parce que j’avais envie de me venger. Nous venions d’avoir notre deuxième enfant, je me suis sentie submergée par mon rôle de mère et particulièrement seule. Ça a pris du temps, mais mon compagnon m’a pardonnée et nous avons su repartir sur de meilleures bases."Une juste répartition des tâches domestiques, une complicité retrouvée, le couple a retrouvé son équilibre. "Aujourd’hui, tout se passe bien. On s’aime. Malgré tout, je sais bien que tout peut arriver. Personne n’est à l’abri d’une rupture."La recette de l'amour ? Ce qu’il y a d’étonnant dans ces histoires, c’est que la plupart des personnes interrogées ne crient pas sur tous les toits qu’elles sont en couple avec leur premier amour. Parfois même, elles préfèrent ne rien dire. Pourquoi ? "Dans un monde qui prône davantage l’expérience et la quête de soi, ce type de relation est souvent accolé à une image du passé", explique François de Singly. Et les autres, quel regard portent-ils sur ces "drôles d'oiseaux" ? "Le couple qui dure pour durer n’a aucune valeur s’il n’y a pas d'amour derrière. Un couple de personnes âgées qui ne se parlent pas au restaurant ne suscitera aucune admiration. En revanche, on trouvera touchant de voir un vieux couple qui se tient par la main dans la rue."Après 19 ans de relation, Thomas a appris à ne pas trop s’étendre sur sa vie de couple La suite après la publicité "Je ne suis pas un extraterrestre, mais je ne suis pas dans la norme non plus. Le monde actuel n’est pas propice à ce type de relation. Regardez, à la télévision ou au cinéma, on est plutôt aux antipodes."Dans son couple, lui aussi a vécu des moments difficiles, a dû apprendre la patience, à accorder son violon. Non, la recette de l’amour, Thomas ne prétend aucunement l’avoir. "J'ai été chanceux de tomber sur la bonne personne du premier coup. Mais je garde à l'esprit, qu'un couple n'est pas une affaire qui roule." * Les prénoms ont été changés.
Ouioui. Ce qui n’a guère changé aujourd’hui et pourtant il me semble être plus heureuse que la plupart de ces personnes en couple. Alors pour tous ceux qui se posent la question : est-ce normal de pas avoir envie de se mettre en couple ? Voici à 34 ans passé et célibataire épanouie ce que je peux leur répondre. Paroles de la chanson Coeur De Loup par Philippe Lafontaine Cœur de loup Pas le temps de tout lui dire Pas le temps de tout lui taire Juste assez pour tenter la satyre Qu'elle sente que j'veux lui plaire Sous le pli de l'emballage La lubie de faufiler La folie de rester sage si elle veut Ou pas l'embrasser Quand d'un coup d'elle se déplume Mon œillet lui fait de l'œil Même hululer sous la lune ne m'fait pas peur Pourvu qu'elle veuille Je n'ai qu'une seule envie Me laisser tenter La victime est si belle Et le crime est si gai Pas besoin de beaucoup Mais pas de peu non plus Par le biais d'un billet fou Lui faire savoir que j' n'en peux plus C'est le cas du kamikaze C'est l'abc du condamné Le légionnaire qui veut l'avantage des voyages Sans s'engager Elle est si frêle esquive Sous mes bordées d'amour Je suppose qu'elle suppose Que je l'aimerai toujours Le doigt sur l'aventure Le pied dans l'inventaire Même si l'affaire n'est pas sûre Ne pas s'enfuir, ne pas s'en faire Je n'ai qu'une seule envie Me laisser tenter La victime est si belle Et le crime est si gai Cœur de loup Peur du lit Séduis-la Sans délai Suis le swing C'est le coup de gong du king. Bong ! Cœur de loup M'as-tu lu L'appel aux Gais délits Sors du ring C'est le coup de gong du king. Bong! Pas le temps de mentir Ni de quitter la scène Yep ! Elle aura beau rougir De toute façon il faut qu'elle m'aime Je n'ai qu'un seule envie Me laisser tenter La victime est si belle Et le crime est si gai Pas le temps de tout lui dire Ni de quitter la scène Yep ! Elle aura beau rougir De toute façon il faut qu'elle m'aime chœurs Cœur de loup Peur du lit Séduis-la Sans délai Où elle est Oh la la! Beau colis Joli lot Cœur de loup M'as-tu lu L'appel aux Gais délits En dit long Mets l'hola C'est joli Quand c'est laid Elleestimait qu’une femme devait se taire, ne pas déranger, qu’elle ne devait pas s’exprimer librement ou qu’elle n’avait rien d’intéressant à dire. Cependant, quand on manque de confiance en soi à l’enfance, on ne sait plus quel regard porter sur les choses et on décide que le filtre à travers lequel regardent nos parents est certainement le seul et unique filtre possible J’avais envie de vous parler de quelque chose qui me tient à coeur et qui fait que je me pose beaucoup de questions. Ce "quelque chose" c’est ma peur. Aujourd'hui j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me tient à coeur et qui fait que je me pose beaucoup de questions. Ce "quelque chose" c'est ma peur. Vous allez comprendre de quoi je parle... Voilà, ça y est, Noah va avoir 9 ans au mois de mai. 9 ans! J'hallucine en l'écrivant! Evidement, comme toutes les mères du monde, j'ai l'impression que, encore hier, je le tenais dans me bras à la maternité. Mais non, j'ai bien pris 9 ans dans la tronche et cet enfant m'arrive à l'épaule. 9 ans, c'est un âge charnière. Le langage est acquis depuis bien longtemps, l'humour et le second degrés aussi. La notion du danger est bien présente et la rébellion de la pré-adolescence pointe le bout de son nez. Mais il reste quelque chose qui ne dépend que de moi l'autonomie. Pardon, je corrige ma peur de le laisser se débrouiller tout seul. Quand j'avais neuf ans, j'étais une petite fille qui ne s'arrêtait jamais. Impossible pour moi de rester enfermée à la maison! Pour la petite anecdote, j'ai réussi à m'enfuir de l'école maternelle quand j'avais 5 ans, c'est dire! Bref, à cette époque, à l'aube de mes 10 ans, j'avais plein de copines dans le quartier où j'habitais et je me retrouvais très souvent à jouer dehors avec elles. Dans les années 90, il flottait une forme d'insouciance au dessus de nos petites têtes d'enfants et, il me semble, que nous étions plus libres. Quand je dis "plus libres", je parle de la façon dont nos parents appréhendaient le danger. D'ailleurs, de quel danger parle-ton? Et bien pour être plus claire, aujourd'hui, je suis maman et JAMAIS je n'imaginerais laisser mon fils aller jouer avec des copains au square du bout de la rue. Je ne peux même pas imaginer une seule seconde ne pas l'avoir à portée de vue. J'ai bien trop peur qu'un fou surgisse de derrière un buisson, ou l'embarque dans un camion, qu'il soit tête en l'air au moment de traverser, qu'il se perde... bref, je me fais tous les films possibles et imaginables. Et je veux absolument tout maîtriser. Ma plus grande peur serait qu'il lui arrive malheur et que cela soit de ma faute. Je ne m'en remettrai pas. La faute à qui? A quoi? Peut-être qu'avant, lorsque j'étais enfant, les médias étaient moins présents dans nos vies. J'ai l'impression que nos parents ne savaient pas tout. Tout ce que nous nous savons aujourd'hui. Tous ces drames, ces accidents volontaires et involontaires... Aujourd'hui, nous sommes envahis de mauvaises nouvelles, d'histoires atroces. Il suffit d'allumer BFM TV ou encore de zapper sur les émissions qui racontent d'horribles crimes. L'horreur est à portée de télécommande finalement... et l'horreur et la peur sont devenues un business qui malgré nous ponctuent notre quotidien. Pourtant, quand j'y repense, j'allais à l'école du quartier seule, je pouvais jouer dehors avec mes copains et dépasser parfois les limites imposées par me parents. Cela me procurait un sentiment de liberté! Grâce à cela, j'ai développé une sorte de sixième sens qui me met en garde encore aujourd'hui quand je me retrouve en situation de danger. Je sens les gens. Je sais si ils sont bons ou méchants. En me laissant cet espace de liberté, mes parents m'ont, sans le savoir, armés pour la vie. Vous allez vous dire alors "mais pourquoi ne laisses tu pas plus de liberté à ton fils puisque cela t'a été bénéfique?" Nous vivons dans une société où nous sommes en permanence en alerte pour nos enfants. Et pas que pour les loisirs! Vous trouvez ça normal vous qu'on amène un enfant mensuellement chez le pédiatre même si il n'est pas malade "pour vérifier que tout va bien"? C'est quand même terriblement anxiogène! Quand j'étais petite, j'allais chez le médecin généraliste quand j'avais quelque chose! Pas pour m'assurer que "tout allait bien"! Mes parents avaient assez de jugeote pour s'en rendre compte tout seuls... Aujourd'hui on veut anticiper toute forme de danger. Moi la première. Nous vivons avec la peur qu'il arrive quelque chose de grave. Au final, que risquent nos enfants à explorer la vie et à devenir autonomes? Si il monte sur ce muret et qu'il tombe, au pire, il se cassera un bras? Je sais, c'est grave, mais est-ce si dramatique? Si il se coupe en m'aidant à cuisiner, est-ce si terrible? Si il se perd et demande son chemin, n'est-ce pas une victoire? Et puis ma peur de l'enlèvement n'est peut-être pas légitime finalement. Quand on sait que la plupart des kidnappings sont fait dans le cadre familial... Je me pose toutes ces questions en ce moment et je me demande à quel âge doit-on leur permettre d'explorer le monde? A quel âge doit-on lâcher la bride? Apparemment, je suis en plein dedans et il va falloir que je travaille sur moi! J'ai remarqué que ma peur de tout déteint sur Noah. Je me dis que j'en fais quelqu'un de prudent grâce à cette anticipation du danger. Et en même temps je me demande si je lui rends vraiment service, si c'est vraiment ça "la vie". Si il ne doit pas avoir confiance tout simplement. Toucher les limites du bout des doigts. Connaître l'odeur du danger. Savoir où il peut s'aventurer et où il ne peut pas. Car, je ne serai pas toujours là finalement... Alors je vais tenter de lui accorder de plus en plus d'autonomie. De vaincre mes peurs. De lui dire que la vie doit se vivre. Qu'on doit éviter le danger mais qu'il est aussi important de lui faire face, de temps en temps, pour en définir les contours et se sentir vivant. Je suis sûre que beaucoup d'entre vous sont dans mon cas alors si vous avez des conseils, je suis tout ouïe! À voir également sur Le HuffPost
Jen’ai jamais recommencé depuis : cet homme m’a donné une image de moi négative, comme si j’étais une fille facile, qui allait tout accepter. Alors que ce soir, j’avais juste envie de
l'essentiel Samedi, Rodez a arraché le nul 2-2 dans les derniers instants de la partie contre Annecy à domicile, par l’intermédiaire du rentrant Depres. Un moindre mal au vu des nombreux errements défensifs et offensifs des Ruthénois lors de cette rencontre. Des points à corriger avant le match à Bastia de samedi 19 heures. Que retenir de ce deuxième match de Rodez à Paul-Lignon ? Sur le plan comptable, le Raf a remporté un point – son deuxième en quatre journées – lui permettant de se remettre un peu en marche après les deux revers subis contre Bordeaux à la maison 0-3 et Nîmes aux Costières 1-0. Sur le moment, le scénario complètement dingue de cette partie, avec le but inespéré de Clément Depres à la 90e minute, a rendu fou de joie les supporters ruthénois présents dans les tribunes, qui ont pu observer les deux premières réalisations aveyronnaises de la saison. Un très fort moment de liesse. Comment espérer mieux avec autant d’erreurs derrière ?Mais à froid, le constat n’est pas vraiment le même. Il est loin de n’y avoir que du positif à retenir de ce 2-2 contre le promu annécien. Parce qu’il était tout d’abord impossible pour les hommes de Laurent Peyrelade de moins bien commencer le match. En effet, dès la 12e seconde de jeu, l’arbitre de champ, Pierre Legat, a octroyé un penalty au FCA, suite à une sortie extrêmement mal maîtrisée et dangereuse du portier ruthénois, Sébastien Cibois, sur l’attaquant adverse, Kevin Farade. Il y a quand même mieux comme entame que de perdre 1-0 d’entrée… Pourtant, après avoir réussi à reprendre un peu le cours du jeu, Rodez est, à son tour, parvenu à obtenir un penalty à la 28e minute, en plus d’un " carton rouge sévère " pour Bissenty Mendy, selon Laurent Peyrelade. Bradley Danger, qui a parfaitement pris à contre-pied le gardien Florien Escales, a permis aux siens de revenir à 1 partout assez rapidement. Mais cela n’a duré qu’une minute… Sur l’engagement, Sahi, qui était déjà auteur du premier but, a remis Annecy devant au tableau d’affichage. Ce dernier a notamment profité d’une glissade de Serge-Philippe Raux-Yao au plus mauvais des endroits. " Il avait été très bon sur les trois premiers matches, donc on va mettre celui-là sur le compte de l’erreur de parcours ", a déclaré Laurent Peyrelade en conférence de presse à propos de la performance de son défenseur. Mais il n’est pas le seul fautif de l’action, puisque l’ensemble de l’effectif semblait encore avoir, à ce moment-là, la tête à la célébration de l’égalisation. " L’arbitre nous a mis dans de bonnes conditions, et on n’a pas su en profiter. Ça m’énerve. En prenant des buts d’enfants, tu ne peux pas espérer mieux. Je ne comprends pas comment on peut manquer de concentration comme ça. On est en professionnel. Ça m’insupporte. Il faut qu’on corrige ces choses-là. On ne peut pas se faire surprendre sur un ballon de 40 mètres, plein axe, dans une défense à trois. Ça n’existe pas dans le foot ça. Après, je ne vais pas prendre un joueur et taper sur l’autre ", a-t-il beaucoup mieux devantEn conférence, Laurent Peyrelade s’est également montré assez critique envers son secteur offensif, bien que le Raf ait marqué ses deux premiers buts de la saison. Il a notamment fait référence aux deux face-à-face manqués par Rémy Boissier contre Florian Escales en deuxième période "Je suis déçu par rapport au manque d’efficacité qu’on a eu devant. Des matches avec autant de situations, je pense qu’on n’en aura pas beaucoup".Depres "On doit faire mieux"Quelles émotions avez-vous eues après avoir marqué ce but de l’égalisation à la 90e minute ?J’étais content. Pour le travail que l’équipe a fait juste avant, je pense qu’on méritait quand même de marquer ce deuxième but. Très content pour le groupe. On marque un but dans le jeu. Je suis allé voir le banc, parce qu’on a beaucoup travaillé sur ce genre d’actions toute la semaine. Avec des profils comme Killian Corredor et Hatim Far, c’est plus facile pour eux de prendre des ballons au sol qu’en l’air, donc on avait travaillé jugez-vous la prestation du Raf sur ce match ?On doit faire mieux. On prend un but en début de match et on en prend un autre juste après l’avoir marqué. Ce sont des buts qui étaient évitables. La physionomie est peut-être bonne à la fin, mais quand on prend un peu de recul, on doit mieux faire dans ce match-là. Surtout chez nous, face à une équipe qui vient de plutôt la déception qui prédomine donc après ce match ?Sur le moment, c’est de la joie quand même d’être revenu, parce qu’on sauve les meubles. Quand on aura fait le travail de vidéo, on se dira "Non, on n’avait pas le droit de rater autant d’occasions, de prendre des buts comme ça". Tout le monde sait qu’on doit faire Paul-Lignon. Mi-temps M. agréable, pelouse en Danger 30e, Depres 90e.annecy Sahi 3e, 32e.Avertissementsn Rodez Cibois 1re, Chougrani 51e, Far 61e.n Annecy Bastian 20e, Temanfo 45e+2, Shamal 82e.Expulsionn Annecy Mendy 28e.Équipesn Rodez Cibois – Mouyokolo Depres, 59e, Raux-Yao, Chougrani Rajot, 79e – Senaya, Boissier, Danger, Ouammou Valerio, 80e, Abdallah Park, 69e – Far, Annecy Escales – Lajugie, Mendy, Jean – Testud, Pajot, Kashi, Phliponeau Temanfo, 33e, Bastian – Farade Bosetti, 4e, Rocchi, 75e, Sahi Shamal, 74e.4e journéeSaint-Etienne – Le Havre0 – 6Amiens – Bastia3 – 1Caen – Guingamp4 – 1Dijon – Nîmes2 – 1Laval – Metz3 – 3Niort – Paris FC2 – 1Pau – Sochaux0 – 3Rodez – Annecy2 – 2Valenciennes – Quevilly0 – 0Grenoble – Bordeaux Havre54121511Paris FC54121012Valenciennes54121-113Sochaux44112114Nîmes44112-115Grenoble43111-216Quevilly34031-117Rodez24022-418Pau24022-719Annecy14013-320Saint-Etienne-14022-7
Laissantune traînée blanche Comme seul souvenir de mon passage. J' entends le doux crépitement de l'eau Qui s'écoule devant mon bateau, Et le souffle léger du vent Qui s'engouffre dans les haubans. J' entends aussi ce calme lointain Qui m'envahit soudain, me rappelant Que je n'ai personne a qui parler. Chaque équipier est au pays des songes,
Il y a des moments où tout laisser tomber est la seule option. Loin d’être un acte de lâcheté ou de reddition, faire ses valises et porter son regard sur l’horizon donne à voir une peau d’authentiques valeurs. Car au final, on se fatigue de soutenir un cœur brisé, de pleurer caché-e et mieux vaut partir avant que le vent emporte notre laisser tomber n’implique pas du tout d’oublier chaque chose vécue ou d’arracher les racines de notre identité, de nos liens. Il s’agit simplement de nous transformer. D’intégrer le passé, le présent et le désir d’un futur, dans un même être, dans une entité capable de se créer elle-même et non pas de se “recréer” dans la souffrance, dans la douleur, dans ce qui s’apparente à un château de sable sur la plage, qui se fait grignoter par l’océan, petit à certaine manière, nous avons tou-te-s déjà vécu ou nous vivrons un jour cette sensation. La sensation que ce qui nous entoure a perdu tout son sens quelque chose vient d’expirer. Il y a des gens qui ont le besoin pressant de vivre de nouvelles choses, alors que d’autres ressentent l’obligation urgente de s’éloigner de ce qui les entoure. Pour leur santé physique ou qu’il en soit, tout laisser tomber n’est pas facile. Dans notre équipage, la peur et l’incertitude nous accompagnent, et même si la tête nous dit “pars”, le cœur se sent incapable de fermer cette vous proposons ici de réfléchir à laisser tomber est aussi un acte de survieNous avons souvent parlé de ce sujet sur ce site les changements ne plaisent pas vraiment à notre cerveau. Un changement suppose un risque et donc un défi vis à vis de notre survie. Mais, il y a une situation où cet architecte interne d’émotions, d’instincts et de comportements nous rappelle à l’ un exemple ; nous traversons une période de stress très intense. Notre entourage très demandeur nous pousse jusqu’à une limite. Et nous, au lieu de gérer cette pression, nous nous laissons emporter dans cette marée de demandes incessantes. Un jour, au moment de prendre le métro pour aller au travail, nos pieds et notre esprit prennent un autre chemin. Nous commençons à marcher et à marcher, jusqu’à ce que, presque sans savoir comment, nous arrivions aux abords du centre urbain, là où n’habitent que le calme, le repos, l’ avons besoin de nous “échapper”. Notre instinct de survie prend tout d’un coup les rênes et nous offre ce qui peut le plus nous aider la distance et le silence. Notre cerveau n’aime pas les changements mais il faut savoir qu’il fera tout sont possible pour survivre, et cette invitation à “tout laisser tomber” se traduit en un besoin de “soin de soi”, que nous ne pouvons pas à présent de John Tierney. Ce journaliste du New York Times”a écrit un livre intitulé Force de volonté qui est devenu un best-seller. Il y décrit ses propres expériences avec le stress, l’anxiété et les pressions explique que la maîtrise de soi maintenue pendant longtemps peut finir par détruire. Vivre dans des situations oppressantes fait que tôt ou tard, on se fait rappeler à l’ordre notre cerveau donne un coup sur la table pour nous faire comprendre la chose suivante soit nous faisons un changement, soit nous perdons votre vie actuelle n’est pas votre véritable vie, partez à sa rechercheSi l’existence que vous menez aujourd’hui ne convient pas à vos puzzles intérieurs, partez. Si vous êtes un-e étranger-ère dans votre propre vie, partez à votre propre recherche. Si la réalité qui vous enveloppe aujourd’hui est habitée d’aiguilles, envolez-vous. Votre santé physique et émotionnelle vous en laisser tomber est quelque chose que l’on ne peut pas décider seul-e, c’est vrai. Il y a des personnes qui doivent faire beaucoup pour réaliser de petits changements et atteindre le bien-être. Cependant, parfois, les changements ponctuels ne sont pas suffisants. Ils ne soulagent pas, ils ne guérissent pas, ils ne réparent pas. Nous avons besoin de faire un pas plus grand pour mettre plus de distance entre nous et les critères qui nous définissaient auparavant. Nous allons à présent vous offrir certaines stratégies à propos desquelles clés pour chercher votre véritable vieLorsque nous laissons tout tomber, nous devons savoir pourquoi nous le faisons et quel est notre objectif. Car quand une personne a un “pour quoi”, elle pourra surmonter n’importe quel “comment”. Si vous favorisez un changement, vous le faites effectivement, pour être quelqu’un que vous voulez vraiment être quelqu’un d’heureux, quelqu’un qui prend les choses en mains, quelqu’un qui se donne une nouvelle opportunité pour être heureux. Quand nous traversons ces tsunamis émotionnels, il est nécessaire de réfléchir et de parler avec soi-même. La meilleure réponse sur ce que vous devez ou ne devez pas faire se trouve en vous. Tout laisser tomber, ce n’est pas s’échapper. C’est pour cela que vous devez bien expliquer à votre entourage pourquoi vous le faites. Affirmez-vous dans vos désirs et vos besoins. Prenez le contrôle de vos actes. Personne ne va vous assurer que ce changement se passera bien mais il peut être la meilleure chose de votre vie. Alors, vous devez gérer vos peurs et vos incertitudes. Comment ? En les transformant en rêves. Souvenez-vous, pour conclure, que notre unique objectif dans la vie, c’est de fleurir. Il est donc nécessaire de toujours rechercher les meilleurs endroits, car tous les décors ne sont pas sains pour nourrir nos racines.
12étapes à suivre pour prendre un nouveau départ. 1. Savoir ce que l’on veut. Ce matin, en sautant du lit vous vous êtes dit « j'en ai assez, il faut que je bouge » mais, avant de vous lancer, posez-vous les bonnes questions. Faites le bilan des points négatifs et positifs de votre vie actuelle, faites le bilan de ce que vous allez
Bonjour à tous ! Je ne sais plus où j'en suis. Une fois de plus quand je relève la tête, une branche vient me fouetter le visage. Passons, je viens ici pour vous annoncer un changement de vie radical ! Je vais partir, loin. Peut être que comme ça je saurai de qui je suis proche ! Cf. les poupées russes... Mon taf m'emporte, je m'emporte, au point de me foutre la gueule dans mon bureau, au point que toute ma vie a envie de foutre le camp. J'en dirai pas plus si ce n'est que j'ai juste envie de partir... partir ... Loin, oublier mon quotidien, mon hebdomadaire et mon mensuel ! Je n'en peux plus de cette vie qui m'étouffe. Bientôt le grand départ. Bientôt un changement de vie complet plus que 180 degrés, 360 ! Je recommence tout à zéro ! Je pense que je vous en dirai plus bientôt ! Téqui ! Mbappéveut « laisser une trace autre que le football, en tant qu’homme ». Joueur de classe mondiale et phénomène de précocité, Kylian Mbappé se veut de plus en plus être un acteur social et sociétal majeur. Son voyage à New York pour plusieurs actions et opérations le prouvent, tout comme ses mots prononcés au micro de BFM TV. Premier message l'après dépression - des séquelles ? 0 Posté le 23 août 2002 par DCF__8247 Déjà deux ans que je suis de retour au travail après une dépression majeure sévère qui a duré deux ans. On m'avait dit que je devais redevenir comme avant et pourtant j'ai encore des problèmes de concentration et de mémoire. Je n'ai pas beaucoup de résistance, je me fatigue vite. Je ne peux plus me permettre aucun excès. L'alcool me fait toujours pleurer. Parfois je bégaye. J'arrive à faire mon travail, mais c'est difficile. Mon moral est stable cependant. Y en a-t-il parmi vous qui ont aussi des séquelles de leur dépression ? Messages récents Page suivante la sortie... 15 Posté le 8 septembre 2002 par DCF__4981 bonsoir à tous ! Y'a 3 ans j'ai fais d'aprés mon medecin généraliste une depression...C'est vrai que je me sentais pas bien, je pleurais pour un rien, etc... Du jour au lendemain je me retrouve sous SEROPRAM et Lexomil. Je prends mon traitement comme me l'a indiqué le medecin mais rien ne change. Au bout d'un moment je me demande même si les médicaments me font de l'effet. Face à cet impasse, je me suis donc décidé à me prendre en main. Primo, j'ai quitté ma copine de l'époque car c'est vrai qu'elle me tapait sur le système, ensuite j'arrête mes études, j'en voyais plus l'utilité...Résultat, j'en profite pour me faire un repos forcé où je profite comme je peux de mon temps libre. Puis je trouve un emploi qui me plait, je me sents util dans mon entreprise et je comence à prendre confiance en moi...Le séropram est arrêté net, même pas besoin de période de sevrage, je stop tout du jour au lendemain. Etant quelqu'un de trés actif, je m'investis à fond dans mon boulot, au bout de 1 an à ce rythme et je n'ai plus connu le moindre souci de dépression...Les sequelles il en reste pourtant => ce satané Lexomil...Ce truk c'est vraiment chaud pour le stopper. En ce moment j'en suis à 1/4 à 1/2 par jour, c'est pas énorme mais il me faut ma dose. Pourtant je suis posé, j'ai mon appart. je gagne ma vie, j'ai une copine que j'aime et malgré tout ca, le manque causé par le lexomil est quelque chose que je n'arrive pas à gérer...Si des internautes ont réussi à stopper ce type de médicament, j'aimerai bien savoir comme il s'y ai pris car pour le moment, malgré que je me défonce au boulot ou dans mon sport, je sens toujours ce manque...et donc je gobe mon 1/4 de lexo. merci d'avance ... J'attends toujours le livre que tu m'as conseillé 14 Posté le 2 septembre 2002 par DCF__4028 J'ai louer deux autres livres La mémoire qui flanche du DR. Henri Rubinstein et Réussir grâce à la concentration de Roger Luc Mary, Pom Pas de problème 13 Posté le 2 septembre 2002 par DCF__8247 Non, il n'y a pas de problème. Tu n'as pas à te sentir coupable. Je n'ai tout simplement pas très envie de ressasser tout ça. C'est du passé et on ne peut pas le changer. Je préfère me concentrer sur l'ici maintenant et chercher des solutions à mes problèmes actuels qui sont concentration, mémoire, etc. Bonne journée. Ça ne va pas bien Bunuel? 12 Posté le 31 août 2002 par DCF__4028 Chere Bunuel, J'espères que mes phrases mal structurées ne t'ont pas blèssé ? Je voulais dire de lui faire voir à l'intérieur d'elle les motifs de ses gestes contre toi... Il faut bien se connaître grâce au miroir et trouver la démocratie entre les parties , personnage à l'intérieur de nous qui nous font ombrage...C'est le moi qui doit ramasser les opinions et dire le dernier mot. Sinon nous sommes plus vulnérable que les autres aux manipulateurs...Le miroir que tu retourne devant elle pour qu'elle puisse se regarder en face et ne plus projetter, ou comme tu disait son narcissisme quio te prends pour objet ,sa possession qui doit exécuter les ordres... Bunuel, il y a un problème? J'ai été maladroite?Pom Sans doute! 11 Posté le 27 août 2002 par DCF__4028 Message modifié le 27-août-02 à 13h31 ESTBunuel, Peu importe le problème auquel on se confronte, on se heurte dabord à une opposition. On la refuse si on peut la vaincre , la colère surgit. Moi elle est rare à venir et à s' violence est bien mauvaise conseillière! Ça n'arrange rien , bien au est désespéré la dépression arrive , on s'enfonce dans la noirceur mais c'est grâce à cette obscuruté le négtivisme que l'on perçoit la lumière...Te ne crains pas ton frère, c'est juste au burreau!J'ai commandé le livre dont tu me parlais...Il n'ai pas recommendé de boire en même temps que l'on est en traitement maintenant que tu n'es plus chez-vousParents te permets-tu de pleurer, de te plaindre ou d'être en colère, et de ne plus te sentir coupable par les reproche d'antan de ton père?Nous devons exprimer nos émotions mais de façon à les maîtriser...Il faut un équilibre pour trouver le ne faut pas tomber dans la sensiblerie comme certain propre sensibilité ne se compare à aucune autre, d'oû la différence de torture mentale que tu as subis a 8 ou 9 ans. était un supposé un apprentissage plutôt violent pour j'imagine, te rendre apte à rencontrer le monde cruel!Elle te torturait l'esprit,pour te faire avouer, quelles sortes de pensées?Elle cherchait la lutte entre vous ,le débat!Elle voulait se suicidée! c'était un début de destruction en espérant que l'autre fasse le travail???L'éliminerElle se trouvait sans doute devenue laide en viellissant, à ses propres yeux ,elle te jalousait pour être encore jeune!Mais finalement toi,tu as eu quelqu'un qui t'as trouvé belle et t'as accompagné dans ton existance?Te trouves-tu froide,ou c'est elle qui projetait?Il y a une personne qui t'aime en se moment ou dans ta vie?Si oui ! Elle s'est trompé sur toute la ligne!Ton père aurait peu te dire que tu plairais au garçon car d'après son regard ,tu était ravissante, mais il ne la pas fait!Il vous baillonnait,interdit de réagire !sa lionne avait parlé point final!Chantage ! cupabilité Ça on l'a tous vécu!Vous étiez les adultes et elle l'enfant perdu dans sa boisson pour oublier, qu'elle avait ratté quelque chose, mais quoi?Mais toi, malgrés tout ça, tu as bien réussis! sauf que tes anciens démons te poursuivent...C'est tout se que tu connais l,amour destructeur, blâmeur ,harceleur , ses semblables te cour au fesses...Lui riait,il avait compris son manège, la laissait s'amuser mais quand on joue tout seule ,on fini par s'ennuyer et passer à l'acte ou s'endormir de perçois qu'il te prenait pour responsable,qu'est-ce-qui te fais dire ça!À cause des fois que tu lui en parlais, pour demande de l'aide pour ta mère, Il se fachait contre toi. Il était impuissant par ces chantages ,il savait qu'ils étaient purs gens ne veulent pas se mèler des affaires des autres parce qu'ils sont trop individualistes,ils n'aiment pas le trouble des revirements de situations, souvent on peut aider et on voous le reproche après!Tu pouvais bien faire de l'angoisse c'est légistime!Tu as même pensé à te suicider ou à t'enfuir, vois-tu comme ta mère faisait!!!Mais toi tu étais déjà responsable d'un être chère...Elle vous a laissé seule ! Elle! restant dans sa maladie! Mais pourquoi ! au fond ! qu'est-ce-qui l'a emmuré dans cette dépression en vous culpabilisant sans doute l'exemple de sa mère et c'est un cercle qui ne s'arrête jamais, si on en prends pas conscience et qu'on arrête le procéssuce...Tu as une conscience. Tant mieux!Au CEGEP la narcissique c'est-elle rendue compte que c'était elle le problème?Pour ton père ,bien il ne se sens pas coupable , une de mes amie me sit souvent ,il ne faut jamais s'endirmir en se sentant coupable...C'et vrai la colère soit être dirigée contre la bonne personne, contre celle qui nous a blessé, pas contre vas lui écrire et envoyer la fumée aux cieux!Comme les indiens fiare des signiaux! Oui c'est tout se qui reste à faire avec lui mais avec ta mêre tu doit utiliser le mirroir de la légende d'Amaterasu ,mieux que la violence ou le chantage de l'argent pour contrer les guerres en tout genre...Pom Mon frère 10 Posté le 26 août 2002 par DCF__8247 Je ne crains pas mon frère. Il n'est pas méchant du tout. Le harcèlement était psychologique au travail le livre illustre très bien de quoi il s'agit. Il était psychologique quand j'étais enfant aussi. Je n'ai jamais bien porté l'alcool, un verre c'est bien. Le deuxième m'endors. Depuis que je prend des antidépresseurs. Je déprime dès le premier tout petit verre de vin. Je fais du cholestérol. Ce serait bien pour moi d'en boire un peu, mais je ne peux pas. Chez nous, c'était interdit de pleurer, de se plaindre ou d'être en colère et en plus on se faisait reprocher par mon père de ne pas être capables de rire et d'être heureux malgré ce qu'on vivait. Ça a commencé quand j'avais 8 ou 9 ans. Mon frère avait 5 ou 6 ans. Le soir après souper, dans le salon, nous étions tous là. Mon père, ma mère, mon petit frère et moi. Ma mère passait des heures à me torturer l'esprit, à me faire avouer toutes sortes de pensées que je n'avais jamais eu. Elle faisait n'importe quoi pour que je me fache contre elle elle me disait que j'étais laide, que jamais personne ne voudrait de moi, que j'étais froide, que jamais personne ne pourrait m'aimer, etc. etc. etc. Mon père était assis dans son coin, nous regardait et m'interdisait de réagir. C'était comme ça des heures de temps, deux ou trois soirs par semaine, chaque fois que ma mère se saoulait. Si je flanchais, que je pleurais parce que je n'en pouvais plus ou bien que je me fachais, ma mère faisait alors une tentative de suicide, bidon, genre 15 calmants, Essayer de se pendre avec de la ficelle de magasin, c'est pas assez pour tuer personne ou elle partait et disait qu'elle allait se jeter dans le fleuve. Elle finissait toujours par revenir. C'était mon frère et moi qui devions tenter d'empêcher ma mère de se suicider, mon père lui riait, on n'a jamais compris pourquoi. Mais pour mon père c'était moi la coupable. Chaque fois que je lui en parlais, pour qu'on demande de l'aide pour ma mère, Il se fachait contre moi. J'ai essayé d'en parler à des oncles, des tantes, des tas de gens, mais sais-tu quoi, les gens ne veulent pas savoir, il ne veulent pas entendre. Ce n'est pas comme des marques de coup. Des marques de coup, des blessures ça oblige les gens à réagir. C'est ça que j'appelle du harcèlement psychologique. Un jour ça a fini. Elle a fait une vraie tentative de suicide. On l'a enfin emmenée à l'hôpital. Le psychiatre lui a fait peur. Il lui a dit que si elle revenait, la prochaine fois il la garderait. Elle n'a plus jamais refait de tentative de suicide. J'avais 18 ans. Je suis restée encore deux ans et ensuite nous sommes partis mon frère et moi. On a pris un appartement. Mon frère a 43 ans et il suce encore son pouce. Je faisais tellement d'angoisse tu peux pas savoir. J'ai même pensé à me suicider ou à m'enfuir, mais je ne pouvais pas laisser mon petit frère tout seul. J'étais bonne à l'école, je me suis évadée là dedans, j'ai tout mis dans mes études. Ça m'occupait l'esprit. J'enseigne au cégep. Ma mère s'est excusée, il y a quelques années après avoir pris conscience en partie de ce qu'elle nous avait fait. Mais elle dit ne pas se sentir coupable. Moi si j'avais fait une chose comme ça une seule fois, je me serais certainement fait sauter la cervelle. Je n'aurais pas pu vivre avec parce que j'ai une conscience. Mon père est mort convaincu qu'il n'avait absolument rien à se reprocher. Il nous a dit mon frère et moi, que veux-tu. Qu'est-ce que tu voulais que je fasse. La vie c'est dur. Pour ce qui est de régler ses comptes. La colère doit être dirigée contre la bonne personne, contre celle qui nous a blessé, pas contre nous-même. La dépression c'est de la colère dirigée contre soi-même. Oui il faut régler ses comptes, mais symboliquement car ce n'est pas en détruisant quelqu'un d'autre qu'on se reconstruit. La thérapie sert à cela, le phénomène s'appelle le transfert, c'est le thérapeute qui reçoit la colère à la place du coupable. On peut blesser un peu quelqu'un qui nous a beaucoup blessé, on peut lui dire au moins, parfois on est surpris de la réaction. On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Tu es trop douce, tu as peur de la chicane, donc tu n'exprimes pas ta colère, si tu l'exprimes ou si tu te défends tu te sens coupable. Pour apprendre à te défendre comme tu dis, il va falloir que tu apprennes à exprimer ta colère. La thérapie, quand elle est bonne ça fait du bien, pourquoi est-ce que tu n'essaie pas. Si j'avais eu juste la première, je te dirais de ne pas y aller. Mais la deuxième ça a bien marché pcq je lui ai dit exactement ce que je voulais, être capable de faire face à ma harceleuse et ne plus me faire harceler. Comment tu peux y arriver, cela dépend de la manière dont on te harcèle au travail. Un psychologue pourra t'aider à résoudre ton problème à toi. Page suivante Ila parlé thérapie de couple mais je n'en ai pas envie, j'ai l'impression que cela ne changera rien, nos caractères ni mes sentiments Qu'en pensez-vous ? Merci. Bonjour à toi, Je vais aller à contre sens, parce que en dehors de flemme de ta part et de celle de ton. Mari, je ne vois rien qui justifie de divorcer. Vous vous êtes laisses bouffer par le quotidien et vous êtes trop
C'est une expérience folle que vit Hélène Wouters, de Wervicq, pendant trois jours se mettre dans la peau d'une personne sans domicile fixe à Lille, du 22 au 24 août 2022. Par Anne-Sophie Hourdeaux Publié le 24 Août 22 à 754 Hélène Wouters, aide soignante à Tourcoing, a décidé de vivre trois jours et deux nuits dans la rue à Lille pour comprendre le sort des SDF et sensibiliser. ©AS Hourdeaux/Croix du NordC’est une expérience folle que vit Hélène Wouters, de Wervicq, pendant trois jours se mettre dans la peau d’une personne sans domicile fixe au centre-ville de Lille . Cette aide-soignante de Tourcoing a vécu seule avec un sac à dos, sans argent, ni nourriture, ni eau , du 22 au 24 août 2022. Son but sensibiliser au sort des SDF, et améliorer les choses. Nous l’avons rencontrée pendant cette expérience Wouters, souriante trentenaire, a préparé un sac à dos pour un voyage pas comme les autres trois jours à Lille sans eau, ni argent, ni nourriture, sans endroit où dormir. Je veux faire l’expérience de vivre comme un sans abri pendant quelques jours cet été… », dit-elle simplement. Il fallait oser ! Aide-soignante à l’hôpital Dron, elle a profité d’être en vacances pour tenter cette faisait longtemps qu’elle y pensait. Hélène est ce qu’on appelle un grand cœur » dès qu’elle peut, elle aide son prochain. Nous l’avions rencontrée lors de l’accueil des SDF au restaurant des Orchidées à Wattrelos début 2021. Elle a même déjà sorti de la rue deux personnes, à Tourcoing, en leur trouvant un logement et un travail !L’été, les associations fermentDepuis un an, elle participe aussi aux maraudes le vendredi soir à Lille avec l’association Cœur étoilé, qui assure des distributions de repas. C’est là qu’une personne à la rue lui a lancé dernièrement L’été, c’est dur quand t’es SDF, les associations ferment… » Hélène est révoltée. C’est pas normal de laisser les gens sans rien… »Ce lundi 22 août 2022, à 9h30, sa maman l’a déposée en voiture près du centre de Lille. Et elle reviendra la chercher mercredi 24 août vers 18 h. Mes enfants sont en vacances, ils ne sont pas au courant. Mes amis voulaient me retrouver à Lille pour me donner à manger, j’ai refusé… » Et elle ajoute Mais je n’ai pas peur ! »Mettre sa vie dans son sac à dos de 13 kgSon sac à dos fait 13 kilos. Je n’ai pas pris grand chose deux pantalons, deux pulls, un K-way, deux tee-shirts, des sous-vêtements pour deux jours, une serviette de toilette, un gel douche, un duvet, une paire de claquettes… » Hélène s’est posé une question en faisant son sac Si j’étais expulsée, je prendrais quoi avec moi ? » Pour pousser l’expérience au maximum, elle a choisi de ne prendre aucune nourriture, aucun argent, et surtout pas d’eau. Je me dis que beaucoup de sans abri n’ont absolument rien avec eux, alors je fais comme eux… »Vidéos en ce moment sur ActuElle a pris son téléphone portable et son chargeur, mais ne sait pas où elle peut le recharger. J’ai trouvé un espace à la gare où il y a des prises, mais elles ne fonctionnent pas toujours. Sinon, ce sera l’Accueil de jour de l’Abej rue Solférino. Ou au pire, je demanderai à un commerçant. » Côté papiers, elle a une photocopie de sa carte d’identité. C’est un SDF que je croise dans mes maraudes du vendredi qui m’a conseillé de faire ça, car il y a des vols dans la rue. »Elle constate Se balader avec un sac de 13 kg toute la journée par cette chaleur, alors que tu marches beaucoup, c’est difficile. Les SDF n’ont même pas ça, ils portent plutôt des cabas. Il faudrait des casiers fermés, des sortes de vestiaires, ce serait bien plus pratique… »Sur place, elle pensait retrouver une femme à la rue qu’elle connaît bien, Ninie. Mais impossible de la contacter. L’expérience à la rue, elle la vivra vraiment seule, dans tous les sens du terme. Les gens passent à côté de toi sans un regard. Un bonjour, c’est rare. Il y a beaucoup d’ignorance. Je me suis sentie très seule ».Elle décide de partager ses expériences, rencontres, réflexions en direct sur sa page Facebook. Dans son périple, elle va aussi à la rencontre des personnes à la rue, elle en connaît certaines, mais la plupart, non. Elles ont besoin de parler. »Manquer d’eau, le plus durLa première journée, Hélène a eu de l’eau vers 19 h ! C’est vraiment le plus dur, manquer d’eau. À Lille-centre, aucune fontaine potable ! C’est vraiment incompréhensible… » Elle n’arrive pas à mendier. Vraiment, je ne me vois pas faire ça, tendre la main ».Mais elle a pu compter sur de belles rencontres. Parfois, elle disait la vérité, son expérience pour sensibiliser, d’autres fois, elle se présentait comme quelqu’un qui venait d’être expulsé. Un monsieur m’a demandé si j’aimais la ville, il me prenait pour une touriste. Je me suis présentée comme quelqu’un nouvellement à la rue. Il m’a donné une petite bouteille d’eau, il est resté avec moi pendant 1 h 30, il m’a rassurée, m’a dit que je m’en sortirais… »Aller aux toilettes est une autre difficulté. Ceux du Mc Do Grand Place sont facilement accessibles… »La première nuit…Comment s’est passée sa première nuit ? Car c’est ce qu’elle redoutait évidemment le plus. Elle savait qu’il fallait à tout prix éviter la gare Lille-Flandres. J’ai essayé de dormir rue Solférino sur un pas de porte, devant un bar car je voulais rester dans des endroits fréquentés, ne pas être trop à l’écart. J’ai somnolé 2 heures, mais il y avait des personnes alcoolisées , je n’étais pas rassurée. Alors, j’ai marché… »Elle n’a pas pu expérimenter un autre conseil d’un SDF dormir en ôtant ses chaussures et en les cachant, car les chaussures sont volées ». Elles sont un bien précieux dans la le soir dehors, surtout quand on est une femme, est une épreuve. Je pense que beaucoup dorment le jour, et marchent la nuit… »Mardi matin, elle pense trouver un peu de réconfort, café et douche, à l’accueil du Secours populaire à Lille-Fives. Un SDF m’avait dit que c’était possible, qu’il y avait la file d’attente… » Elle ne peut pas prendre le métro, sans titre de transport, alors c’est 40 minutes de marche du centre de Lille, de bon sur place, c’est la déception. Elle a attendu longtemps, avant qu’on lui dise que ce site ne donnait pas de café ni ne disposait de douches ! Ils m’ont dit de fournir des papiers pour avoir 100 € de courses en les payant 13 euros. Mais ce n’est pas ce que je voulais… »Bredouille, elle repart au centre-ville, le ventre vide. Elle croit pouvoir se rendre à l’accueil de jour de l’Abej rue Solférino, mais le mardi, ce n’est ouvert actuellement que de 13h30 à 16 commerçants solidairesCe qui lui a été très utile, ce sont les initiatives de l’association La Cloche Les commerçants partenaires apposent sur leur vitrine un tract avec une cloche. Cela veut dire qu’on peut recharger son téléphone, avoir un café suspendu*, aller aux toilettes… C’est super ! »Un café offert Aux pains dorés rue Gambetta, et pouvoir charger son téléphone chez Sweet Flamingo rue Leblanc, voilà Hélène repartie avec le sourire. Il faudrait que ce genre de choses soit beaucoup plus développé chez les commerçants… et qu’on ait la liste de tous ces commerces qui aident. »Mardi soir, il y a la maraude des Restos du cœur, encore faut-il trouver où leur camionnette s’arrête. J’espère qu’ils auront assez de repas car un SDF m’a dit que la semaine dernière, il n’avait eu droit qu’à un demi café et un demi sandwich, car il y avait trop de monde… Evidemment, avec les associations qui arrêtent pendant deux mois… »Avoir des idées nouvelles pour aiderHélène sait qu’elle sortira grandie de cette expérience. Solidaire, elle l’était déjà avant. Alors qu’est-ce-que cela changera pour elle ? Je pourrais expérimenter ce qui ne va pas, les manques, les besoins des personnes à la rue. » Elle compte aller voir les commerçants du centre-ville après ses trois jours intenses. Je leur demanderai de faire des cafés suspendus, de donner leurs invendus chaque soir… » Il y a encore plein de choses à faire ! Elle ajoute Cela me donnera peut-être envie de changer de travail, devenir médiatrice sociale… » Parlez aux personnes à la rue, donnez-leur de l’eau »Elle veut aussi que cette action serve de sensibilisation auprès du grand public J’ai envie de dire aux gens parlez aux personnes à la rue, prenez de leurs nouvelles, donnez leur de l’eau, un sandwich, elles en ont besoin. On ne peut pas s’occuper de tout le malheur du monde, mais on peut s’occuper d’une personne. »Adopte un SDFElle a cette formule qui vient du cœur encore une fois Et si on lançait Adopte un SDF’ ? On va au resto avec lui régulièrement, on l’héberge même de temps en temps, pourquoi pas ? Moi, je vais le proposer à Ninie… »Et pour tous ceux qui la critiquent, elle lève les épaules et dit Eh bien, qu’ils fassent pareil que moi, et ils verront. » Elle aimerait d’ailleurs que d’autres vivent ce qu’elle a osé. Cela changerait le regard, et l’action des gens… »*Café suspendu consommation payée en double par un client précédent, pour l’offrir à une autre article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Lille Actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.

Description: Tu dis que tu vois une pαrtie de elle en moi sα mαgαcepαrce que lα seule pαrtie de moi que j'vois en elle c'est mon point dαns sα fαce.

Iln’est qu’une vague dans l’océan. Tu n’as pas à t’en préoccuper. Il n’y a rien dans lequel tu dois te laisser prendre. Rien dans lequel tu pourrais te noyer. Il ne mérite pas d’avoir un rôle dans ton histoire. Il ne mérite pas d’avoir une place. Il ne mérite pas d’avoir un morceau de ton cœur, parce qu’il n’a
Bonjour Je me présente je m'appelle Quentin et j'ai 35 ans diabétique de type 1. Depuis quelques temps il m'arrive de penser au suicide en regardant ma seringue d'insuline. Comme ce soir j'hésite de passer à l'acte car je m’inquiète pour mes proches. Une amie à qui j'ai confié mes envie de suicide et mes problèmes, en voulant bien
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  • je n ai qu une seul envie me laisser tenter